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Revue de presse de la semaine N°9
2 Mars 2006 - Gersende HAYOZ (Services Administratifs)
Revue de presse de la semaine N°9

Revue de presse de la semaine N°8:

Cette revue est faite à partir de journaux dont les rubriques sont sur le net

Jeudi 2 février

Championnat de France en salle: un tour de trop pour Thomas

Troisième après 24 tours de piste, sur le 5 kilomètres marche, il a manqué 200 mètres à Mickaël Thomas pour monter sur la 3e marche du podium. A un tour de l'arrivée, au moment du sprint final, le marcheur de l'EAB a « récolté » un troisième carton rouge et a immédiatement été mis hors course. Dommage, car jusque là, Thomas avait parfaitement rempli son contrat sur un rythme endiablé de 15 kilomètres heure, toujours difficile à tenir techniquement. Très remonté mais aussi très motivé pour la suite, le marcheur bressan entamera rapidement sa saison estivale avec de hautes ambitions.
Un deuxième bressan participait à ce championnat de France Élite en salle dans la banlieue de Clermont-Ferrand. Cinquième de sa série du 1500 mètres en 3'5, Gaël Le Coz n'a pu accéder à la finale.

Semi-marathon de Bourg: ce sera l'itinéraire bis

Les organisateurs de l'EA Bressane ont revu et corrigé les itinéraires du 7e dix kilomètres et du vingt-sixième semi-marathon, évitant l'enceinte du parc de Bouvent

Dès vendredi dernier, le président de l'EAB, Marc Picard, et son équipe organisatrice, avaient anticipé la prolongation de la fermeture du parc de loisirs de Bouvent au delà du 28 février. Dimanche et lundi matin, ils étaient à pied d'oeuvre pour mesurer dans les règles de l'art un itinéraire bis pour leurs deux épreuves au cas où Bien leur en a pris. Lundi soir, sitôt la nouvelle de la fermeture prolongée jusqu'au 8 mars, les dossiers d'homologation du 10 kilomètres et du semi marathon sur les nouveaux parcours étaient transmis à la Fédération française d'athlétisme. Qualificatives pour les championnats de France 2006 qui se dérouleront en fin d'année, les 7e 10 kilomètres et le 26e semi marathon permettront aux athlètes les plus performants de se mesurer au chronomètre sur des tracés propices aux performances.

Les Burundais s'annoncent
Est-ce que les records seront menacés ? Rien n'est moins sûr car les 1 h 02'45 de Ahmed Salah établi en 1991 par un des grands du marathon mondial et les 1 h 11'51, record de France à l'époque de la lyonnaise Rosario Murcia, représentent des monuments durs à ébranler même si le profil des 21,100 kilomètres est toujours le même.
De même, les 29'40 du burgien, alors licencié aux Coquelicots 42, Mounir Khelil et les 34'46 de la Marseillaise, Bénédicte Molle, semble eux aussi bien accrochés sur la distance des 10 kilomètres. Tout dépendra de la qualité du plateau qui s'annonce d'ores et déjà de bon niveau.
La présence confirmée des jeunes et talentueux burundais Egide Manirazika et de son compatriote Dieudonné Gahiangu, respectivement sur semi et 10 kilomètres, promet des courses animées au rythme soutenue. Quant à menacer les records, ce sera une autre histoire

Serge Rapy


REPERES


Catégories
10 kilomètres - Cadets (16-17 ans), juniors, espoirs, seniors, vétérans 1, 2 et 3 masculins et féminines.
Semi-marathon - Juniors (18-19 ans) à vétérans 4.

Pour s'inscrire
Le samedi à partir de 10 h 30 à Ainter Expo avec engagement majoré de 5 E. 9 E pour le 10 kilomètres. 13 E pour le semi-marathon.
Renseignements: Téléphone 04.74.22.55.36. Fax 04.74.22.78.65.
E-mail : semi10km@eabressane.com
Internet : www.sport-up.fr

Récompenses pour tous
Sac à dos personnalisé à la remise des dossards. Rose pour toutes les arrivantes. Journal « Le Progrès » du jeudi 8 mars avec les résultats complets



Mardi 28 février

Articles provenant de Athlé Magazine, N° 487 Février 06, cliquez ICI!

Championnats de France élites: sous le signe du «vieux guerrier»

Maazouzi aux Mondiaux, c'est pratiquement acquis. Mais il y avait encore quatre autres Ligériens. Bilan et perspectives.

Il s'est cru un temps champion de France, et a même entamé un tour d'honneur. Il a fallu avoir recours à la photo finish, et finalement, Yemmouni a coiffé Driss Maazouzi pour 3 millièmes de seconde, même pas un cheveu, au terme d'un 1 500 d'anthologie. Le « vieux guerrier » du Coquelicot, qui avait un temps conditionné sa participation aux Mondiaux de Moscou à la conquête du titre, a décidé d'honorer sa qualification. Quant à la jeune garde, à qui il voulait confier les clés de la maison, elle patientera encore un peu.
On attendait sur la même distance une autre athlète du Coquelicot : Nouria Benida a décidé de rester en Algérie et l'a annoncé la veille de la course. Elle qui fut médaille d'or sur la distance à Sydney, avait signé un come-back remarqué, réalisant au meeting de Stuttgart à peine plus de 4.10, un temps synonyme de minima pour être elle aussi qualifiée pour Moscou. Y sera-t-elle ? « À ce jour, elle y va. » Disait-on hier du côté de son club. On restera tout de même prudent sur son éventuelle participation.
Marine Richard (E.A.S.C.) s'alignait sur 800. Sur la lancée de sa finale en Espoirs la semaine précédente, elle réalise 2.16.23 soit pratiquement une seconde de moins que son temps en finale.
À elle aussi Aubière semble sourire. Ce qui n'est pas le cas de Marie-Christine Plasse : l'athlète du Coq est restée sur ses bases à 1,60 en hauteur et n'a pu faire mieux que 11e de son concours ; pour elle, les portes de la finale se sont refermées.
Christophe Enjolras au poids et Yann Celli en heptathlon ont par contre réussi à franchir ce cap. Enjolras qualifié avec un jet à 15.36 accède à la 11e place de la finale, et même s'il reste pour l'occasion un peu en retrait (15.08), cela constitue pour lui son meilleur concours de la saison.
Quant à Yann Celli, il mérite la palme de la régularité : qualifié avec 5 178 points, il en marque 5 177. Mais surtout, il est 8e, ce qui lui vaut une place de finaliste. On devrait le retrouver l'été prochain avec d'autres ambitions, pour peu qu'il vienne à bout des nouvelles perches - un peu plus longues - qu'il utilise désormais.

PHILIPPE DÉCOT

Lundi 27 février

Perche: Favretto face à ses choix

Médaillé de bronze des championnats de France en salle samedi, le Lyonnais regrette sa stagnation en terme de performance

Clermont-Ferrand, Vincent Favretto a beau avoir tout l'avenir devant lui à seulement 22 ans, il aimerait qu'il se dessine un peu plus clairement. C'était en somme son message samedi soir, à sa descente de la troisième marche du podium de la perche, à l'issue d'un concours qu'il estime lui-même «laborieux».
Ce n'est pas tant d'avoir «laissé» à Romain Mesnil (vainqueur en 5,65m) son titre de champion de France indoor acquis en 2005 à Lièvin qui le froisse, mais plutôt ce vague sentiment de stagner en lisière du haut niveau international.
Son record personnel, 5,60m, commence à dater (11 décembre 2004), même s'il l'avait égalé l'été dernier aux championnats d'Europe espoir...
Après avoir tardé à retrouver ses marques cette saison, l'athlète de l'Entente Grand Lyon, semblait pourtant remis sur les rails par son titre national espoir il y a dix jours à Bordeaux en franchissant 5,55m avant d'échouer de peu à 5,66m dans sa tentative contre les minima pour les Mondiaux de Moscou.

Quatre entraînements par semaine. Sauf que samedi, il n'a senti aucune amélioration, peinant à franchir 5,55m avant de manquer de fraîcheur dans ses tentatives à 5,65m. «Je n'avais pas de jus, pas d'influx, expliquait-il. Je passe 5,35m et 5,45m au 3e essai puis 5,55m au 2e. Je suis allé chercher ces barres assez loin. J'étais à la bagarre. Au moment de me battre pour la victoire à 5,65m, je commençais à être cuit.» Un constat qui le ramène à la vieille question de son investissement: réputé doué, Vincent Favretto ne se donne sans doute pas les moyens de progresser davantage avec quatre séances d'entraînement hebdomadaires en raison de son emploi du temps (il est en licence de chimie par alternance).
«Vincent est le perchiste de niveau européen qui s'entraîne le moins et qui utilise les plus petites perches, constate son entraîneur, Christian Bourguignon. Dans ces conditions, on ne peut faire que du palliatif. Il nous manque au moins deux séances par semaine, il le sait. Tant qu'on en restera là, il passera 5,60m voire 5,65m mais ce sera difficile d'aller plus haut. Dans un sens, c'est prometteur. Depuis qu'il est petit, il a toujours eu une perception technique très fine. Dès qu'il fait un progrès, cela se traduit immédiatement en terme de performance.»
Lui-même en est persuadé: «Je vais mettre le paquet à l'entraînement, assurait-il samedi. J'ai envie de me hisser au niveau de Romain (Mesnil), d'aller à 5,80m ou 5,90m. Je me dis que si je n'ai pas passé les 5,65m ce soir, c'est pour aller encore plus haut l'été prochain.»

Benjamin Steen


Saut en longueur: premières pour Kamanda-Mbuyi


Jean Kamanda Mbuyi (Entente Grand Lyon) a terminé deuxième (derrière le recordman de France Salim Sdiri) du championnat de France en salle en battant son record personnel avec 7,65m. L'athlète entraîné par Jean-Jacques Veillas, 25 ans, qui participait à sa première finale d'un championnat de France, n'en revenait pas. «Jusque là, j'avais fait beaucoup de zéro en qualification... Je ne pensais pas réaliser ça cette année alors que je m'étais fait une déchirure il y a quinze jours à Eaubonne.
J'ai fait une séance samedi et c'est passé...»
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